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11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 18:01

        Diya.jpg

            Une grande date.... à ne pas manquer !!

Grande fête des Lumières: DIWALI pour la première fois à Toulouse !!!

Surveillez ce blog (newletter) ou la page Facebook: LesPortes de L'Inde réseau artistique - vous aurez très vite le détail de la Journée, pleine de surprises, de nouveautés, de cadeaux...        

 

Vous pouvez d'ores et déjà effectuer votre réservation pour le repas/spectacle via email: lesportesinde@ymail.com

Salle Lafourguette, rue de Gironis 31100 ToulouseA partir de 15 heures gratuit et à partir de 19 heures: repas/spectacle : 15 euros

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10 octobre 2012 3 10 /10 /octobre /2012 08:15
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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 17:25

                            12 nrita               

Namasté !

Cette année, les cours de Nrita (Danse Pure) ne commenceront qu'en novembre. 

Pour cause de conférences et séminaires de travail à l'étranger et un séjour aux sources - en Inde - je ne me poserai, à nouveau, à Toulouse qu'en novembre.

 

J'espère que votre été a été très agréable et que vous profitez encore des derniers beaux jours.

 

Nous nous retrouvons début novembre pour de nouvelles chorégraphies au

                          TRAIT BLEU

           1, rue Joutx Aigues (M° Carmes)

                  Vendredi 12h30 - 13h30

(je vous confirmerai sur ce blog l'horaire exact - afin de m'assurer de la disponibilité de la salle)

 

Les cours individuels et en petits groupes reprendront aussi à cette même période. Vous pourrez me contacter au 0636991516

 

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16 juillet 2012 1 16 /07 /juillet /2012 11:23


Have you heard about the yogic groundswell sweeping the world? From Sydney to LA, Singapore to Guatemala, yogis are standing up to take part in the year’s most connected event.

On September 9, hundreds of Yoga Aid Challenges will take place across the world in one 24 hour period. On this day, thousands of participating yogis will feel a global wave of giving wash over them, spreading across the earth.

It's early days and yet so far we've already confirmed more than 150 events in 27 countries. Signed up yogis have already raised over $35,000 for charity.

However, to reach our target of $1 million dollars in this year alone, we need your help.

Visit www.YogaAid.com to sign up, find out about your local charity partners and get involved in this year’s Yoga Aid World Challenge somewhere near you!

Australia - 32 events | Canada - 6 events | Costa Rica | Curacao | Equador | Egypt | Germany Greece | Guatemala | India | Indonesia | Ireland | Italy | Japan - 6 events | Kenya | Lebanon | Mexico | New Zealand | Puerto Rico | Samoa | Singapore | South Africa | Switzerland | The Netherlands | United Kingdom - 7 events | USA - 69 events | Zambia


- still can't find an event near you? there's time to host your own!
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16 juillet 2012 1 16 /07 /juillet /2012 10:46

 

Les disparues de l’histoire
par Nicole Pellegrin, novembre 2008

Qui, en France, connaît l’auteure de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne parue le 14 septembre 1791 ? Une présidentiable en quête de voix féminines lors de l’élection de 2007 ? La poignée de féministes et les quelques historiens et historiennes qui rêvent de faire entrer au Panthéon une femme de lettres proprement révolutionnaire ? N’a-t-elle pas su proclamer et appliquer, elle-même, le principe : « La femme a droit de monter sur l’échafaud ; elle doit avoir également celui de monter à la tribune » (article X) ? Ce passage, le plus cité de tous les écrits d’Olympe de Gouges, a un accent dramatique qui plaît d’autant plus que le reste de la Déclaration se contente de corriger, en le féminisant, le texte de 1789. Donner — concrètement et non dans l’abstrait — tous les droits à tous, y compris à un « sexe supérieur en beauté et en courage », c’était penser autrement, c’est-à-dire avec force et humour, l’ensemble des rapports sociaux et s’inscrire ainsi dans un débat européen sur l’égalité véritable, débat ouvert par les Lumières et qui est encore d’actualité.

Longtemps ignorée (quelques extraits sont publiés en 1840, mais la première version complète est éditée par Benoîte Groult en 1986), la Déclaration signée (et donc pleinement assumée) par de Gouges est dédiée à la reine.

Cette brochure semble être passée inaperçue en son temps, contrairement à la Vindication of the Rights of Women, de Mary Wollstonecraft, traduite dès 1792 et bien moins radicale dans sa forme. Cette publication précède de deux ans la mort sur l’échafaud de de Gouges, pour fédéralisme et antirobespierrisme, le 3 novembre 1793.

Réédité sous une forme souvent tronquée, ce document tend à faire de Marie Gouze, veuve Aubry, dite Olympe de Gouges, une icône internationale du féminisme. Cependant, cette renommée, qu’ignore encore largement l’Hexagone, reste partielle. Quand elle est connue, la fin tragique de la seconde guillotinée de l’histoire de France (Marie-Antoinette l’a devancée de peu) a éclipsé les autres titres de gloire d’une femme au destin transgressif : fille non reconnue d’un père aristocrate et de la belle épouse d’un boucher de Montauban, Occitane montée à Paris après un veuvage précoce, romancière autobiographe et écrivaine de théâtre malmenée, cette antiesclavagiste notoire fut une pamphlétaire novatrice qui sut répandre ses idées par des affiches et par voie de presse : abolir la traite négrière, réformer l’impôt et la Constitution, sauver la tête des monarques, donner à toutes et à tous le droit au divorce et à l’éducation, etc.

De ses multiples combats, on a surtout retenu ses attaques frontales en faveur des femmes. Puisque « la femme naît libre et demeure égale à l’homme en droits » (Déclaration, article I), « la loi doit être l’expression de la volonté générale ; toutes les citoyennes et tous les citoyens doivent concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation ; elle doit être la même pour tous : toutes les citoyennes et tous les citoyens étant égaux à ses yeux, doivent être également admissibles à toutes les dignités, places et emplois publics, selon leurs capacités, et sans autres distinctions que celles de leurs vertus et de leurs talents » (art. VI).

Sa vie et ses idées sont désormais bien connues grâce au travail d’Olivier Blanc et à plusieurs rééditions de ses pièces de théâtre et d’autres textes (Côté-femmes, Mille et une nuits, Cocagne). Des travaux universitaires récents projettent une lumière de plus en plus nuancée sur une œuvre singulière (Joan Scott, Eléni Varikas, Christine Fauré, Gabrielle Verdier, Catherine Masson, etc).

Mais les aléas de la notoriété posthume de de Gouges, y compris comme féministe, méritent attention car ils posent la question plus générale des innombrables (semi-) oubliées de l’histoire. Pour avoir pris la parole et fait la preuve de talents jugés masculins, celles-ci passèrent, en leur temps, pour des « femmes-hommes » et des viragos. Cette célébrité première, accrue souvent par des situations qui les rendaient socialement et financièrement vulnérables, a englouti ou marginalisé ces femmes, quand elle ne les a pas métamorphosées en harpies et/ou en martyres.

George Sand n’a pas échappé, non plus que Mme Roland, à ce type de défiguration, à la fois physique et morale. Quant à leurs consœurs écrivaines, féministes ou non, elles ont attendu longtemps avant de reconnaître l’apport de de Gouges à la réflexion politique en général et à la cause des minoritaires (femmes ou esclaves) en particulier. Flora Tristan ne se dit-elle pas, en 1843 dans L’Union ouvrière, « la première qui a reconnu en principe les droits de la femme » ? Déni ou mépris des devancières ? On ne sait, mais les différentes vagues du féminisme ont connu des « oublis » analogues.

La misogynie des « découvreurs » récurrents de de Gouges a, au XIXe siècle, des accents féroces et stupides : « héroïque et folle » (les Goncourt), atteinte de « paranoïa reformataria » (un docteur Guillois), « une toquée dans ses mauvais jours, trop nombreux, ce fut une gâcheuse dans ses meilleurs » (Léopold Lacour), etc. Mais, en ce début du XXIe siècle, il serait fâcheux de voir se mettre en place une vision qui, pour être plus pondérée, n’en resterait pas moins biaisée et tronquée.

Activiste anomique des lettres françaises, de Gouges est inséparable de l’ensemble des débats de son temps et d’un monde violemment genré où les femmes font alors, sans le fard de l’anonymat, une percée remarquée et controversée. Au milieu d’écrivaines francophones talentueuses comme Isabelle de Charrière, Germaine de Staël, Stéphanie de Genlis, Constance Pipelet, Louise de Kéralio et beaucoup d’autres souvent oubliées, de Gouges est, selon Fortunée Briquet en 1804, une des « femmes les plus intéressantes de son temps ».

Le contexte dans lequel l’auteure de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne a formulé ses idées, et surtout leur sens aujourd’hui, seront traités durant deux jours, le 14 novembre à l’UNESCO et le 15 novembre à Montreuil (Ecole nationale de musique et de danse), de 10 heures à 17 h 30, par des spécialistes de son œuvre et des « grands témoins » des combats actuels pour l’égalité des droits.

Avec : Olivier Blanc, Nicole Pellegrin, Benoîte Groult, Josette Fallope, Violaine Lucas, Gabrielle Verdier, Anna Azaria, Souhayr Belhassen, Catherine Masson, Soha Bechara, Aminata Traoré.

Organisé par Le Monde diplomatique avec le soutien du Secteur des sciences sociales et humaines de l’UNESCO, de la Commission française pour l’UNESCO, de la ville de Montreuil, du Conseil Régional d’Ile-de-France et de TV5 Monde.

Entrée libre sur réservation sur www.unesco.fr

Le Monde diplomatique de novembre 2008, en kiosques le 29 octobre, comportera un supplément consacré à la figure d’Olympe de Gouges.

Nicole Pellegrin

Historienne et anthropologue
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18 juin 2012 1 18 /06 /juin /2012 14:40

Du 9 au 12 juillet 2012, Fara et Marie Pierre Cauvel, danseuse-thérapeute et relaxologue proposent, pour la première fois ensemble, un stage de bien être et de réflexion sur soi afin d'entamer l'été en pleine sérénité, dégagé(e)s de toutesles tensions accumulées durant toute cette année et de retrouver sa propre harmonie.

 

http://www.calameo.com/read/00107126149f468967517

 

Horaires et lieu du Stage:

De 13h à 17h

13h - 14h30 : Yoga avec Fara

14h30- 15h : pause

15h- 17h Danse de l'âme avec Marie Pierre Cauvel

 

Au Centre d'animation Lalande

Salle de l'ancien cinéma

207, av. de Fronton

31200 TOULOUSE

 

Informations pratiques:

Pensez à apporter votre tapis de sol et une tenue confortable.

Nous proposons le thé sur place.

Pensez à apporter une petite collation à patager !

 

Contacts:

Fara: 0636991516

marie Pierre: 0650806804

 

Tarifs découverte. EXCEPTIONNEL

120 euros (tarif plein)

80 euros (tarif réduit)

15 euros d'adhésion au nom de l'association Choréam'

 

!!! Nombre de places limité !!!

Il est fortement conseillé de réserver via nos blogs ou sur nos pages FB

fara-nrita-yoga.over-blog.com

lesdansesdel-ame.over-blog.com

 

 

 

 

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18 juin 2012 1 18 /06 /juin /2012 14:00

 

 

AfficheForom-2012-283.jpgLe stand de Hindi est toujours représenté avec Fara et Djallal et cette année la présence de lasociation Les Portes de l'Inde Midi Pyrénées.

Deux représentations de Nrita Yoga ont été proposées en début d'après midi.

Fara a expérimenté la vie réelle des yogis en performant pieds nus sur une scène brûlante !!!

Le Forom est toujours aussi riche et toujours l'occasion de rencontres très intéressantes.

 

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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 18:39

\  Holi Hai !!!...

 

Jouez Holi en toute sécurité.

La meilleure option est de jouer avec des couleurs d'origine naturelles. Nous utilisons des produits naturels respectueux de la peau.

Utilisez plus de couleurs rouges, roses, bleues, jaunes etc. qui peuvent être facilement enlevées. Prévoyez des vieux vêtements.

Si le temps le permet, nous jouerons Holi à l’extérieur.

Après un décompte à partir de 10, tous ensembles, nous lancerons les poudres de différentes couleurs,  provoquant ainsi un magnifique nuage multicolore de quelques secondes.

                                                                Un moment inoubliable !!!

                                                 Nous vivrons ainsi à l’heure réelle de l’Inde !!!

 

holi-2012.jpg

 

Un spectacle hors du commun: des ateliers pour enfants et adultes et un magnifique spectacle le soir.

Le NRITA était présent pour honorer les sources des danses indiennes !!!!!

 

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6 avril 2012 5 06 /04 /avril /2012 09:53

Nrita ou “danse pure” est le mouvement des mains et des pieds en rythme. Ces mouvements peuvent ne pas avoir de sens mais traduisent des émotions sur certains thèmes.

Alors quel est le but de «Nrita"?

 Il s'agit de créer un collage de lignes rythmiques  et de formes.

Pourquoi utiliser le mot "rythmique"?

La musique et la danse indiennes sont basées sur la notion de rythme cyclique ou tala.

Comme le temps  peut  être divisé, en unités appelées "minutes", puis en sous-unités, "secondes",  de même, le rythme cyclique ou tala peut être divisé en unités appelées «Matra» et sous-unités appelées "akshara."

 Il existe différents types de rythmes tala ou cyclique. Le nombre total des unités et des sous-unités qu'ils contiennent habituellement les distingue. Divers motifs rythmiques sont tissés avec les notes de musique et structurés en syllabes rythmiques. Ceux-ci sont finalement exécutés par les mains et les pieds : c’est le mouvement Nrita

Que signifie « syllabes rythmiques »?

Les livres anciens sur la musique donnent quelques syllabes spécifiques, qui ne sont que des sons instrumentaux.

Les instruments sont divisés en trois types: 1) les instruments à cordes, 2) les instruments à vent, 3) les instruments de percussion. Les sons qui en émanent sont prononcés par la voix et ils constituent les syllabes rythmiques (mantra).


Alors la danseuse exécute ces mouvements, elle doit garder un équilibre juste entre deux caractéristique: vigoureuse et douce. Un certain déséquilibre donnera aux mouvements un aspect ni trop dur ou trop terne.


Les outils du Nrita sont le langage des gestes systématiques et des mouvements du corps, des mains et des jambes. Comme nous le savons, les danseuses des temples dans l’Inde antique transmettaient les paroles des déités aux humains. Il était tout à fait naturel qu'elle ait une maîtrise parfaite de la langue gestuelle.


Le Natyashastra décrit la place des acteurs dans les théâtres de la scène antique indienne. Ils reprenaient les thèmes évoqués dans les temples par les devadasi.

Le Natyashastra a donc un chapitre entier consacré à des gestes de la main (mudra). Cela ressemble au langage utilisé par les malentendants, mais plus stylisé. danseuse-peinture.jpg

Le traité décrit des gestes simples qui enchaînés peuvent être utilisés par les acteurs.

Il prévoit également une catégorie distincte appelée « gestuelle de la danse », qui doit être utilisée dans le plus pur de danse (Nrita) par les acteurs.

Mais plus tard, lorsque la danse a pris un chemin différent du  théâtre, le langage des gestes est devenu la spécificité de la danse.

Ainsi, aujourd'hui, la plupart des danses indiennes suivent le traité du XIIème siècle appelé le "Abhinaya Darpana," ce qui signifie le miroir des gestes. Il répertorie les gestes simples utilisés pour montrer les objets, les actions, les émotions, différentes postures debout et assis, les types de sauts, les mudra, etc.

Le Nrita est souvent une danse improvisée : les Indiens parlent du « test de l'imagination »: raconter une histoire et faire profiter le public de diverses nuances de l'émotion à travers son histoire. Le Nrita démontre l'endurance d'un danseur et son habileté sur les rythmes indiens parfois déroutants.

 En Inde, les danses classiques sont l’évolution des arts des temples. La danse a été l'une des formes principales d'expression religieuse. Elle était également l'un des outils de culte. La danseuse pratiquait le Nrita en regardant en face la déité.  C'est la raison pour laquelle la danse classique indienne est un art généralement effectué en solo.

C'est seulement de nos jours que des ballets ou des danses de groupe sont en vogue.

Mais il est vrai, qu’encore, la danse classique reste le domaine d'un interprète solo.

La performance du Nrita a une structure spécifique qui reste habitée par la tradition. La combinaison de la danse pure et de la danse interprétative, des divers degrés de pratiques, nous conduit à la création de prestations de danse différentes - qui donnent l’image finale d'un caléidoscope très coloré d’une multitude de danses classiques indiennes.




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4 avril 2012 3 04 /04 /avril /2012 13:27

Bouddha-peinture.jpg

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Présentation

  • : NRITA YOGA - Yoga dansé
  • : La pratique du Nrita Yoga a pour vocation de proposer une nouvelle approche du yoga en l'associant à la danse. Cette pratique est accessible à tout public, allant des adolescents aux personnes du troisième âge.
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Profil

  • Fara-Nrita-Yoga
  • Fara-France est professeure de yoga de la FFHY depuis 1983 et a enseigné en France et en Inde. Elle a été disciple de Swami Satyananda Saraswati (Bihar School of Yoga).
Elle a travaillé plusieurs années auprès de femmes indiennes en Inde
  • Fara-France est professeure de yoga de la FFHY depuis 1983 et a enseigné en France et en Inde. Elle a été disciple de Swami Satyananda Saraswati (Bihar School of Yoga). Elle a travaillé plusieurs années auprès de femmes indiennes en Inde

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